Boîtier de scène 8/8 Ethernet ADAT

ADAT déporté jusque sur la scène via une liaison Ethernet.

Boitier de scène : 8 sorties symétriques / 8 entrées symétriques de “sensibilité micro”.
Boitier de scène en vue de dessus.
Boitier de scène : 8 (2 platines superposées) préamplis micro PGA2505 à commandes numériques + PAD + 48 V
A côté de la console, en liaison ADAT + Word Clock
Partie “Console” dans son boitier quand mon ami Nico aura usiné les faces avant et arrière dans l’alu.
L’appli Windows de configuration. Un “Clip” s’allume en rouge en dessous du PAD de chaque voie en cas de saturation.
Le PIC a pour rôle essentiel de “surveiller” le core audio. Dès qu’un problème de réception survient, détecté par une fréquence différente de 12 KHz en provenance de la réception Ethernet, le signal “mute” est activé et la réinitialisation de la configuration du FPGA éventuellement effectuée. Cela est important pour éviter des chocs audio. Le PIC s’occupe également des liaisons avec l’application de contrôle (Le WIFI reste à développer). Certes, un soft-processeur NIOSII aurait pu être utilisé mais il n’y a plus suffisamment de place dans le FPGA.
Le système déclenchant l’envoi d’une trame ADAT se divise en deux parties afin de réduire au maximum la gigue (jitter) par rapport à WC. La fréquence élevée (196.608 MHz) associée à la prise en compte du front le plus récent pour le déclenchement des process permet d’atteindre ce but. Je me suis basé sur https://ackspace.nl/wiki/ADAT_project pour la structure de la trame. Toutefois, je n’ai pas pris en compte l’implémentation FPGA fournie (qui traite d’ailleurs du décodage d’une trame ADAT et non de l’encodage) Attention, les bits de premiers indices désignent les bits de données audio de poids fort.

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